EN BREF
Sous l'Ancien régime, l'abandon des enfants se faisait aux portes des églises ou des communautés religieuses. Au début du 19e siècle, la société amplifie le nombre des « tours d'abandon ».
Mais à la fin du même siècle, l’Administration du pays ferme « les tours d’abandon » pour mettre en place des « bureaux d’admission ». La systémisation d’obligations formalistes à laquelle il y a lieu d’ajouter la stigmatisation des filles-mères par la normative chrétienne engendrent dans le pays une série d’infanticides à laquelle l'Auvergne n'échappe pas
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