jeudi 6 septembre 2018

HORRIBLE ASSASSINAT À SAINT-DIDIER-D’ALLIER (Haute-Loire) - MAI 1891



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Le lundi 18 mai 1891, entre six et sept heures, un aubergiste de Saint-Privat et un cultivateur de Saint-Didier –d’Allier, se rendent de compagnie dans cette dernière localité, quand près du ruisseau qui fait la limite des deux communes, ils aperçoivent le cadavre de Frédéric Rousset, bouvier à Saint-Didier, chez le fermier du château. Frédéric Rousset avait trente-un ans.

Le cadavre est tourné la face contre terre entre deux pierres dont l’une a servi de marteau. La tête, réduite en bouillie, a été fracassée à l’aide de l’une des pierres qui pèset treize livres. Les poches de la victime ont été retroussées, …..



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Bibliographie en fin d’article.

LA GUILLOTINE À RIOM – 9 février 1933



DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

DANS L’ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES JUDICIAIRES ET DE LA VINDICTE POPULAIRE
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LA GUILLOTINE À RIOM – 9 février 1933
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Un crime est découvert le 16 mars 1932 à Saint-Georges-de-Mons (Puy-de-Dôme). Cette nouvelle jette l’épouvante dans les montagnes d’Auvergne. Deux femmes âgées respectivement de 62 et 63 ans ont été lâchement assassinées. La propriétaire de la maison située au lieu-dit « Les Bruyères » occupait la maisonnette depuis 1926 . Vivait dans la même maison, une de ses amies d’enfance, veuve de la Grande Guerre. L’affaire connue, spontanément, un cultivateur du village de Mazal vint déclarer qu’il avait entendu un coup de fusil la veille vers les 20 heures.

Très vite, les enquêteurs considèrent que le vol est le mobile du crime. Un suspect est interrogé par les enquêteurs et après un interrogatoire de quatorze heures, il reconnait l’assassinat des deux femmes. Présenté au Juge d’Instruction, il est écroué à la Maison d’Arrêt de Riom.

Le procès de Marien Evaux se déroule aux Assises du Puy-de-Dôme les 25 et 26 octobre 1932 où il est condamné à la peine capitale. Au cours des débats, l’assassin refusera d’indiquer l’endroit où fut caché le produit du vol, à savoir titres et espèces.

L’assassin est condamné à la peine capitale. L’exécution est prévue pour le 9 février 1933 devant la porte d’entrée de la Maison d’Arrêt.

Dans ses éditions des 9 et 10 févier 1933, « Le Moniteur du Puy-de-Dôme » rapporte avec moult détails l’application de cette décision de justice….



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Bibliographie en fin d’article.