mercredi 11 septembre 2019

L’ARISTOCRATE PENSAIT TROUVER REFUGE EN AUVERGNE… LE DRAME DE PARENTIGNAT (1793 )



DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

La Terreur bat son plein : les prisons regorgent et, chaque jour, le sinistre guillotine tranche des têtes.

Le comte X…, un sexagénaire, et son petit-fils âgé de quinze ans ont réussi à échapper à toutes les recherches. Ils ont trouvé refuge chez un tripier de la rue Aubry-le-Boucher, un farouche révolutionnaire, mais qui a été jadis obligé par l’aristocrate fugitif et qui paie ainsi, en le cachant chez lui, sa dette de reconnaissance.

Le comte espère trouver la quiétude en Auvergne et confie son neveu aux bons soins du tripier.
Mais l’aristocrate ne donne aucun signe de vie. Le petit-fils quitte la capitale quelques années plus tard et prend la route de Parentignat, la destination première du grand père. Sur place, aucune trace de l’aïeul ….

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Bibliographie en fin d’article.

IL FRACASSE LE CRANE DE L’AMANT DE SA FEMME – ANZAT-LE-LUGUET (1895)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Au cours de l’audience de la Cour d’Assises de Riom qui ne dure qu’une demi-journée, la femme volage déclare : « Oui, c’est moi. Je suis une mauvaise femme, j’ai tous les torts. Acquittez mon mari, condamnez-moi. Mon mari est le meilleur des hommes. »

Mais quel drame a conduit cette femme devant cette juridiction ? Que s’est-il passé à Anzat-le-Luguet en cette fin d’octobre 1895 ?. Les deux amants ont été surpris en délit d’adultère par le mari. Fou furieux l’époux trompé fracasse le crane de son rival ….

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Bibliographie en fin d’article.