dimanche 9 mai 2021

CONDUIT A L’ÉCHAFAUD, EN CHEMISE, PIEDS NUS ET RECOUVERT DU VOILE NOIR ... - LE PARRICIDE DE CHAURIAT (1831)



DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »


Au 19e siècle nos anciens ont côtoyé le parricide comme exacerbation des violences familiales…
Le code pénal napoléonien revenait aux pratiques de l’ancien régime. L’article 13 du Code pénal du 12 février 1810 prévoyait que « Le coupable condamné à mort pour parricide, sera conduit sur le lieu de l'exécution, en chemise, nu-pieds, et la tête couverte d'un voile noir ». Vingt ans plus tard, cette condamnation fut appliquée à l’encontre d’un habitant de Chauriat (Puy de Dôme), qui avait exécuté son père à coups de bêche…
La pratique de ce châtiment à l’égard des auteurs de parricide perdurera en France jusqu’en 1909.

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Bibliographie en fin d’article.

TROIS ENFANTS DE 3 À 10 ANS PÉRISSENT ASPHYXIÉS … LE FEU VENGEUR ET CRIMINEL PRÈS DE SAUGUES (1878)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Un habitant du village de La Veysseyre (Commune de Saugues) avait perdu un procès contre le sieur Domaizon propriétaire dans le même village.
L’individu ne veillait qu’une occasion pour se venger de cette décision de justice . Visant une écurie, propriété de Domaizon, et l’opportunité d’y mettre le feu, il passa à l’acte. Le bâtiment fut vite ravagé par les flammes. La maison jouxtant l’écurie appartenait Jean Limozin et à l’étage de laquelle, trois jeunes enfants dormaient. L’épaisse fumée qui se dégageait de l’incendie eut vite fait d’asphyxier les petites victimes…. Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.