UNE MÈRE TUE SES ENFANTS À SAINT CHRISTOPHE D’ALLIER (1890)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Drame du dénuement psychique survenu en bordure du ruisseau du Chapeauroux près du hameau de Saint-Christophe d’Allier en Haute-Loire ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

ELLE ĖTRANGLE SA BELLE SŒUR – L’ASSASSINAT DE VERGONZAC (1895)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Prétextant des menaces exercées par son frère à son encontre, Anastasie va s’en prendre à sa belle-sœur. Dans ce contexte difficile, l’accusée décide d’éliminer l’épouse de son frère Jean Pierre Garrel.
Elle entre par effraction la maison et étrangle Appolonie Garrel, non s’en avoir fait main basse sur des billets et lettres de créance…

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

ELLE TRAHIT SES SERMENTS ET VA EN ÉPOUSER UN AUTRE- TENTATIVE D’ASSASSINAT À VICHEL (1877)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Maria l’aimait, Julien l’aimait mais sa modeste condition de domestique ne lui permettait même pas de penser à l’idée du mariage. Le 18 novembre 1877, les bancs annonçant le mariage de Maria avec Pierre G… sont publiés.
Cet événement déclenche chez Julien une violente et profonde détresse. Trois jours plus tard, c’est le drame … Il tire sans discernement sur les responsables de son incurable malheur….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

UNE BANALE QUERELLE DE VOISINAGE TOURNE AU DRAME - SAINT GERMAIN LEMBRON (1890)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Une mauvaise réflexion faite à son épouse, une rencontre houleuse entre hommes, un coup de couteau…
Trois jours plus tard, la victime décède de ses blessures…
Une fillette de 6 mois devient orpheline…

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

TENTATIVE DE MEURTRE SUR UN GENDARME À RANDAN (1858), LES AUTEURS SONT DES BANDITS DE GRAND CHEMIN

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

Dans cette deuxième partie du 19e siècle, les truands n’hésitaient pas « à se mettre au vert » dans la France profonde, histoire de se faire oublier du monde judiciaire et des services de police. Ce qui ne les empêchaient pas de commettre divers larcins pour survivre…
Dans la soirée du 9 octobre 1858, le gendarme Guérin est en faction devant la porte de la caserne. Dans la pénombre, il entend une conversation à voix basse… Deux inconnus sont embusqués derrière des tas de bois. Il tente de s’approcher, c’est alors qu’il est violemment agressé à l’arme blanche par les malfrats qui prennent la fuite.

Dans cette bataille inégale, le gendarme, malgré ses blessures, récupère un chapeau qui va devenir le fil conducteur d’une patiente chasse à l’homme….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

RÉBELLION DE DÉTENUS À LA MAISON CENTRALE DE RIOM - DOUBLE TENTATIVE D’ASSASSINAT (1837)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Un épisode de la violence dans les établissements pénitentiaires sous le règne de Louis Philippe.
Dans une ambiance surchauffée, une revendication des détenus va être le départ d’une rébellion dont certains auteurs sont condamnés à perpétuité et qui n’ont plus rien à attendre de la société. Deux gardiens sont agressés au couteau. Préméditation ou pas, les témoignages ne sont pas d’une extrême rigueur …

Six accusés sont présentés devant la Cour d’Assises de Riom dont un étudiant en droit qui a mis ses qualités intellectuelles au service de la voyoucratie de l’époque …

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

PASSÉ POUR MORT, LE RESCAPÉ DE WATERLOO REVIENT SUR SES TERRES - IL EST ABATTU PAR SON HÉRITIER (1817)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

Rescapé de la défaite de Waterloo, après y avoir perdu une jambe et resté de longs mois entre la vie et la mort, le fidèle de Napoléon Ier rentre dans ses terres près d’Issoire. Avant son départ dans les armées napoléoniennes, le châtelain avait pris la peine de régler ses affaires chez un notaire de la ville d’Issoire et notamment de désigner son héritier en la personne de son neveu Gabriel.
Après avoir été soigné en Angleterre, quatre ans plus tard, le châtelain rentre chez lui à la stupéfaction du notaire a qui il avait confié ses intérêts ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

DE NUIT, L’HOMME SANS VIE VOYAGEAIT SUR SON ÂNE … (1879) - À SAUGUES, L’INFIRME ENIVRÉ AVAIT ÉTÉ TUÉ À COUPS DE PIOCHE

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Cette triste affaire va trouver son épilogue devant la Cour d’Assises de la Haute-Loire d’avril 1880. On juge un crime dont on a failli reconnaître qu’il ne s’agissait d’un banal décès. Une lugubre mise en scène a d’abord trompé le médecin chargé d’examiner le cadavre de la victime.
Mais la rumeur devint grandissante pour désigner un coupable et redoutant une vengeance de l’auteur présumé, un témoin avait fait le choix de se taire … Un procès d’importance où furent entendus par moins de 32 témoins ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

L'HOMME EST BATTU A MORT DEVANT DES TÉMOINS PÉTRIFIÉS - LE DRAME DE LUZILLAT (1891)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

L’homme, client assidu des cabarets de Luzillat était connu pour son intempérance. Au fil du temps, de libations en libations, il devenait victime de ses délires de persécution.
Et pourtant les gens n’intervenaient-ils pas auprès des tenanciers ? « Refusez donc à boire … Il finira par tuer quelqu’un … » Mais les aubergistes faisaient la sourde oreille.
Un jour, à la sortie d’un cabaret, il s’en prend à un brave paysan qui passait par là. Des témoins sont là médusés et assistent comme paralysés au déluge de violence ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

CHÂTEL-GUYON : IL SUPREND SA FEMME SUR LES GENOUX DE SON DOMESTIQUE IL LA BLESSE MORTELLEMENT ET VA ÊTRE ACQUITTÉ (1891)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Qualifié de drame de l’adultère, le dénommé B… tue sa femme à coup de revolver. L’homme avait exercé la profession de coiffeur à Riom, rue de l’Hôtel de Ville et voyant que son affaire périclitait, il avait décidé d’ouvrir un salon à Châtel-Guyon.
Mais les affaires n’étaient guère brillantes et la famille va se trouver rapidement dans une des situations des plus précaires.
Inévitablement, le couple se querelle … la conduite de l’épouse n’est plus parfaite….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

FAYET-RONAYE : IL BLESSE MORTELLEMENT SON ÉPOUSE D’UN COUP DE COUTEAU (1842)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

En 1829, Jean Feneyrol avait épousé Marie Chamberon. Par leur contrat, les deux époux se faisaient réciproquement donation de leurs terres, en toute propriété, dont le prémourant serait saisi à son décès.
Cette clause fatale semble avoir été la cause de la mort de Marie Chamberon.
Mais avant d’exécuter son funeste geste, l’époux va faire vivre à sa compagne treize années de martyre. Le crime, prévu par tous, a cependant fini par s’accomplir, et personne n’a pu arracher la victime à son affreux destin….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

UN CRIME CRAPULEUX PRÈS D'ESPLANTAS (1878)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Rien n’arrête la fureur des voyous … Le 28 février 1878, Pierre Ancette , cultivateur à Brangères, avait vendu quelques bêtes au marché de Saugues.
Sur le chemin du retour, il est violemment agressé par quatre individus qui vont le dépouiller de son portefeuille. Non seulement le fait de l’avoir frappé avec rage, un des malfaiteurs lui tire six coups de revolver à bout portant.
Trouvé gisant et complètement inanimé, le malheureux décède quelques jours plus tard après de cruelles souffrances ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

LE PÈRE BERTHON EST RETROUVÉ MASSACRÉ .. SON ASSASSIN A FAIT PREUVE D’UNE SAUVAGERIE INOUÏE – CHARENSAT (1874)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »


C’est jour de foire à Charensat, petite localité située à l’ouest du département du Puy-de-Dôme. Le père Berthon, un brave homme, va croiser un individu de mauvaise réputation. Les deux hommes vont passer un bon moment, autour d’un verre, dans une des auberges du bourg.
Mais le lendemain, le corps du père Berthon est retrouvé atrocement mutilé au « Houx du maçon ».

Très vite les soupçons se portent sur son « compagnon » de rencontre de la veille. Interrogé, l’accusé nie, et le magistrat instructeur décide d’une perquisition à son domicile … A cette perquisition fructueuse, s’ajoute un témoignage capital …

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

LA JALOUSIE MALADIVE DU MÉDECIN – IL TIRE SUR SON RIVAL SUPPOSÉ (AUZON - 1864)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Nous sommes sous le Second Empire et la bourgeoisie d’Auzon prend ses aises . Le médecin des lieux, un certain Allezard, reçoit chez lui des personnages de son rang social. Parmi eux, un certain Baufils avec qui il se lie, à priori, d’amitié. En juillet 1864, le médecin prend à son service Jeannette M… de dix ans sa cadette et va en faire très rapidement sa maîtresse.
Mais, les visites de son ami Baufils vont devenir insupportables pour Allezard considérant que son visiteur entretient des relations cachées avec sa servante.
Allezard est jaloux au point d’en être maladif. Il surveille particulièrement la nuit son domicile jusqu’à recruter des villageois pour faire le guet en prenant soin de leur fixer des consignes strictes en cas d’arrestation du malotru qui essaierait de pénétrer chez lui. Ces surveillances ne donnent absolument rien.

Il lui vient à l’idée de monter, avec la complicité de Jeanne M… un guet-apens contre son supposé rival. Beaufils ne se méfie pas d’un rendez-vous à une heure indue et lorsqu’il s’y rend, il reçoit deux coups de fusil tirés par Allezard….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

AUX MARTRES SUR MORGE, LE BEAU PÈRE REVENDIQUAIT LE DROIT D’ËTRE L’AMANT DE SA BRU (1874)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »


Le 25 aout 1874, à 8 heures du soir, Michel P… se rend chez le garde-champêtre des Martres sur Morge en lui présentant une écuelle en terre, qui selon ses dires, contenait de la soupe préparée par sa femme , de laquelle s’échappait une odeur nauséabonde résultant d’un poison. « Elle a voulu m’empoisonner » précisa-t-il.
Le brave garde-champêtre en informa le Maire et ils se rendirent tous les deux au domicile de la famille P…
Stupeur, dans l’unique pièce de vie du couple, le maire remarquait des taches de sang. Dans la cour, la margelle du puits présentait également des taches de sang. Le garde laisse tomber une pierre dans le puits qui n’atteint pas le fond. On sonde le puits, le crochet s’arrête à environ 20 mètres de profondeur. Avec peine, on remonte le corps de Marie G… épouse de Michel P…
L’affaire arrive devant la Cour d’Assises de Riom le 3 août 1875, mais jugeant ne pas disposer de tous les éléments, l’avocat général reporte les débats à la session suivante qui a lieu en novembre 1875.

Trois jours de débats qui vont porter sur la place publique toutes les horreurs, l’ignominie et les terreurs supportées par la victime …

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.

À PINOLS , UNE CONVOCATION DEVANT LE JUGE DE PAIX QUI TOURNE MAL, IL ASSASSINE SON CRÉANCIER (1864)

DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF

Le 13 octobre 1864, dans la matinée, le cadavre du nommé Jean Baptiste Redon, vieillard âgé de soixante-quinze ans, fut trouvé dans un bois au lieudit le Razat-d'Argent, a trente mètres environ de la route qui mène du village de la Soucheyre à Pinols.
Le corps était agenouillé au pied d’un arbre, la face violemment comprimée contre le sol, et sur le derrière de la tête se remarquaient des traces de violences ; à quelques pas de là se trouvaient le bonnet de Redon, mais aussi son bâton et son chapeau.
Tout laisse à penser qu’il s’agit d’une mort violente ….

Lire l'article...

---

Bibliographie en fin d’article.