EN BREF
Cette triste affaire va trouver son épilogue devant la Cour d’Assises de la Haute-Loire d’avril 1880. On juge un crime dont on a failli reconnaître qu’il ne s’agissait d’un banal décès. Une lugubre mise en scène a d’abord trompé le médecin chargé d’examiner le cadavre de la victime.
Mais la rumeur devint grandissante pour désigner un coupable et redoutant une vengeance de l’auteur présumé, un témoin avait fait le choix de se taire … Un procès d’importance où furent entendus par moins de 32 témoins ….
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