jeudi 15 novembre 2018

COUPS DE FEU MORTELS À VERTAIZON (1897)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Madame Mandosse âgée de 88 ans , riche bourgeoise, veuve d’un capitaine de cavalerie, vivait entourée de son personnel de maison. Il y avait là le couple Reignat, lui assurait les fonctions de jardinier tandis que son épouse était la cuisinière de la maison. A ce duo, était associé une domestique en la personne de Lisa Missonnet.

Tout à côté, vivait paisiblement un couple de paysans lesquels avaient un fils dont la personnalité leur donnait bien du tracas.

Le 22 février 1897, le jeune voisin, armé d’un poing américain et d’un revolver , avait jeté son dévolu sur les biens de Madame Mandosse. Au cours de l’équipée sauvage, l’individu fait usage de son arme sur Antoinette Reignat, Lisa Missonnet et Madame Mandosse. La cuisinière et la jeune Lisa sont également victimes de violences en tous genres …

Antoinette Reignat décède le 12 mars suivant…. Le légiste conclut que les coups reçus sont à la cause du décès….



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L’ASSASSINAT DE ÉNIGMATIQUE M. DUPORT (1798) – JOB



DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

M. Duport était arrivé à Job en 1793 avec une grosse malle en guise de bagages. Installé dans une coquette maison, il avait su s’attirer la sympathie de ses voisins. Il menait une existence paisible et tout laissait à croire qu’il était fort riche. Les villageois étaient persuadés que sous ce personnage distingué et cultivé se cachait un aristocrate que La Terreur révolutionnaire avait poussé vers les discrètes profondeurs de l’Auvergne.

En 1798, M. Duport vivait toujours dans cette maison et sa présence faisait partie du quotidien. Un beau matin de juin , les volets ne se sont pas ouverts. Inquiets, les voisins attendirent quelques jours pour fracturer la porte d’entrée.

Quel horrible spectacle ! Le corps du vieillard à demi décapité gisait dans la salle à manger. L’annulaire gauche avait été sectionné pour s’emparer de la bague enrichie d’un diamant . Des piles de linge ensanglanté jonchaient le sol, oui, l’assassin avait cherché le magot de M. Duport.

Qui était M. Duport ?, qui avait perpétré cet acte odieux relevant de la barbarie ? Quelques jours avant la découverte du crime, un personnage inconnu était arrivé à Job. L’homme d’une certaine élégance avait demandé le chemin qui conduisait à la maison de M. Duport….

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Bibliographie en fin d’article.