lundi 8 juin 2020

L’ATROCE CRIME DE MAURIAC - LA MACHINATION DE LA BELLE MÈRE POUR ÉLIMINER SON GENDRE … (1825)



DANS LA SĖRIE « CRIMES & FOLIES MEURTRIÈRES EN AUVERGNE »

Dans la matinée du 7 juin 1825, un garçon d’écurie amenait le cheval d’un voyageur à l’abreuvoir. Il faisait à peine jour... Le cheval, au lieu de boire, recula... Le garçon d’écurie, étonné, s’approcha du bac et découvrit le cadavre de Pierre Delmas le tenancier du débit de boissons voisin ... Il donna l’alarme et le corps du débitant fut retiré de l’eau.

Le plan de l’odieuse belle-mère fut, un instant, bien près de réussir. On crut tout d’abord à une noyade accidentelle... On y crut d’autant mieux que le médecin appelé à constater le décès déclara que Delmas était encore vivant quand il était « tombé à l’eau »... L’étrangleur n’avait sans doute pas achevé sa victime.

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Bibliographie en fin d’article.

« LE LOUP » TRAHI PAR LA CHARGE DE SON FUSIL - UN CRIME COMMIS AVEC PRÉMÉDITATION À LUBILHAC (1875)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Ce fait divers eut un retentissement national et fut évoqué tant dans la presse régionale que nationale. Un bourgeois domicilié dans cette commune de Haute-Loire fut la victime d’une embuscade tendue par un individu qui connaissait bien les habitudes de l’homme d’affaires.

Propriétaire important et jouissant d’une fortune considérable, ses déplacements à Brioude étaient consacrés à diverses transactions financières et nul ne doutait qu’à son retour il transportait de grosses sommes d’argent….

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Bibliographie en fin d’article.