mercredi 30 juillet 2025

TRAGÉDIE À THIERS – UN CRIME D’UNE CYNIQUE BARBARIE (1878



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


À Thiers, en 1878, un drame sanglant secoue la commune : une femme est assassinée par son propre mari, un homme vêtu comme un bourgeois, dissimulant sous cette apparence une cruauté sans nom. Les voisins, témoins silencieux des sévices répétés infligés à l’épouse, avaient jusqu'alors gardé le silence, enfermés dans une omerta glaçante.

Ce n’est qu’au procès que l’horreur éclate : les détails sordides des tortures subies émergent, révélant un sadisme méthodique. L'accusé, impassible, incarne une cynique barbarie, laissant Thiers sous le choc et l'indignation.

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Bibliographie en fin d’article.

dimanche 20 juillet 2025

UN MARI TUÉ PAR L’AMANT DE SA FEMME- LA FEMME COMPLICE - LE CRIME DE PONT-PICOT (MARINGUES) - 1892



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


En 1892, à Pont-Picot, commune de Maringues, un cadavre est découvert, celui de Joseph Durif, son crâne fracassé.
L'enquête révèle une vérité accablante : l'épouse de la victime, impatiente de se marier avec son amant Carthonet, semble être l'instigatrice du meurtre.
Manipulé, un enfant de 11 ans, est le témoin du commerce adultérin de sa mère. La voix unanime de la communauté pointe l'épouse et son amant comme complices dans ce crime brutal, choquant l'opinion publique de l'époque.
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Bibliographie en fin d’article.

lundi 7 juillet 2025

LE PARI UN LITRE DE VIN QUI SE TERMINE EN MEURTRE – PERPEZAT (1886)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Dans le petit village de Perpezat niché au cœur des montagnes, l’été déploie ses longues journées paisibles, rythmées par les travaux des champs et les bavardages au comptoir de l’unique auberge du coin. Pourtant, cette quiétude a été brusquement troublée par un événement aussi tragique qu’inexplicable.
La veille au soir, l’auberge était animée par les rires et les discussions, les verres s’entrechoquaient au son des paris lancés sans retenue. Parmi les clients, un garçon de ferme, le visage rougi par les vapeurs de l’alcool, lançait un défi : un bras de fer contre un autre habitué, avec pour enjeu un litre de vin. L’assemblée, mi-amusée, mi-intriguée, s’était regroupée autour de la table bancale où les deux hommes s’affrontaient. Le garçon de ferme, bien que téméraire, s’inclina devant la force de son adversaire.
L’ambiance redevint légère, jusqu’à ce que l’aubergiste réclame le paiement de la bouteille. Mais les poches du jeune homme étaient aussi vides que son verre, et ses supplications pour un crédit restèrent vaines. Expulsé de l’établissement sans ménagement, il disparut dans la nuit noire, titubant sous les moqueries de quelques clients encore attablés.
Le lendemain, le village se réveilla sous le choc : le garçon de ferme fut retrouvé sans vie, à quelques distances de l’auberge. Était-ce l’ivresse qui l’avait conduit à sa perte, ou quelque chose de plus sombre s’était-il joué cette nuit-là ? Les murmures se propagent, les regards se tournent vers l’aubergiste, vers l’adversaire du bras de fer, vers ceux qui avaient ri sans prêter attention.
Dans ce petit village d’ordinaire si tranquille, les questions demeurent. Et si cette partie de bras de fer n’était que le début d’une histoire bien plus obscure ?
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Bibliographie en fin d’article.