EN BREF
Venu pour affaires, notre marchand de bestiaux avait omis d’être plus discret lors de ses diverses transactions. Ces échanges avaient attiré l’attention d’un quidam qui s’empressa de faire « ami-ami » avec sa future victime. De libations en libations, les deux hommes se retrouvèrent en tête à tête sur le pont du Babory …
« Laisse-moi la vie, je te donnerais tout l’argent que je possède. » assura le marchand de bestiaux à son compagnon d’un jour … Il n’en fut point « Il faut que tu y passes » rétorqua l’assassin
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