EN BREF
Le 16 mai 1847, l'absence remarquée de Marie Gidon à la messe dominicale alimente les rumeurs. Cette parente du curé, vivant au presbytère, aurait accouché secrètement. Le maire et les conseillers municipaux se rendent au presbytère, où le prêtre avoue que l'enfant serait mort-né et prévoit l'inhumation dès le lendemain.
En habits sacerdotaux, il procède lui-même à l'enterrement. Interpellé sur sa conduite par un paroissien, le curé le supplie de garder le silence. Alerté, le maire saisit la justice. L'exhumation du corps révèle une vérité macabre : l'enfant est né viable, sa mort attribuée à un acte criminel.
Confrontés aux preuves, le prêtre et Marie Gidon avouent l'impensable.
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