jeudi 29 mai 2025

VENGEANCE PRÉMÉDITÉE - DÉNONCÉ PAR SON COMPLICE, LES DEUX COMPÈRES SE RETROUVENT À LA PRISON CENTRALE DE RIOM (1870)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Deux complices avaient commis un vol dans l'Allier, mais seul l'un d'eux avait été arrêté et condamné à 10 ans de réclusion. Le second était resté en fuite jusqu'à ce que son complice le dénonce aux autorités.
Par la suite les deux hommes se retrouvent en cohabitation forcée dans la prison de Riom , ravivant un esprit de vengeance chez le dénoncé, obsédé par l'idée d'éliminer « la balance ».
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Bibliographie en fin d’article.

lundi 12 mai 2025

MEURTRE À L’ÉCOLE NORMALE DE GARÇONS DE CLERMONT-FERRAND (1899)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Un drame inattendu s'est produit à l'École Normale des Instituteurs. Un élève, frustré par l'absence de réussite à un examen, a brusquement perdu la raison et s'est attaqué sans motif apparent à un camarade. Cet acte de violence a stupéfié l'institution, habituellement paisible et dédiée à la formation des futurs enseignants.

Les témoins décrivent un étudiant habituellement calme, soudainement submergé par une émotion incontrôlable. L'administration, puis la Justice ouvrent une enquête pour éclaircir les circonstances de cet événement tragique.
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Bibliographie en fin d’article.

dimanche 27 avril 2025

POUR UNE HISTOIRE D’HÉRITAGE - LE DRAME DE BIOLLET (1873)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


En 1872, François Géraud-Dumontel décède au village des Cheix. Par testament, il avait institué son frère Antoine et François Madebène usufruitiers de ses biens immobiliers et leur avait laissé en outre la propriété de sa fortune mobilière.
François Madebène, fils d’un des fermiers des deux frères, avait été recueilli par le frère d’Antoine, ce dernier considérait qu’il était victime d’une injustice….
François Madebène était devenu un intrus qu’il fallait, coûte que coûte, éliminer.
L’adage « le crime ne paie plus » s’avérera vrai ….
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vendredi 18 avril 2025

UN GENDARME TUÉ PAR UN BRACONNIER - MAZAYE (1881)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Le 11 décembre 1881, les gendarmes Yzambart et Thalamy, en résidence à Pontgibaud, se trouvant sur le territoire de la commune de Mazaye (Puy de Dôme), aperçurent deux chasseurs qui, à leur aspect, prirent la fuite.
Ils s’élancèrent à leur poursuite, et comme les braconniers avaient pris des directions différentes, les gendarmes furent obligés de se séparer pour les atteindre.
Yzambart parvint promptement à mettre la main sur l’un d’eux, qui déclara s’appeler Gaspard Vazeilles.
En suivant ses traces dans la neige, il part à la recherche de son collègue Thalamy.
Il le retrouve prosterné à terre et sans vie, la figue appuyée sur les mains ayant la tête une horrible blessure. On apercevait à plusieurs mètres de distance des fragments d’os et des portions de substance cérébrale incrustés sur des environnants….
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lundi 31 mars 2025

LE MEURTRE DE BEAUNE-LE-FROID – 11 MARS 1896



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


C’est à la suite de la célébration d’un mariage que s’est déroulé le drame …
Il y avait dans ce crime passionnel deux épisodes, le premier tient du vaudeville par un côté comique ; le deuxième été un drame, sanglant qui a produit dans la région une vive émotion.

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lundi 2 octobre 2023

VOLVIC – POUR UNE MONTRE ET QUELQUES VERRES DE VIN DE TROP, UN JEUNE DE 19 ANS PERD LA VIE (1892)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Le 31 juillet 1892, on découvrait le corps d’un jeune carrier âgé de 19 ans sur la ligne de chemin de fer qui reliait la gare de Volvic à celle de Volvic réservée au transport des pierres de taille et qui desservait Marsat et Volvic bourg.

Outre les horribles mutilations, toutes les traces de coups relevées sur la victime ne pouvaient avoir être exécutées que par un ou plusieurs individus ….

Pour laisser croire à un suicide, la dépouille a été transportée puis placée sur rails du « train des Batignolles » . La première circulation qui passe écrase le jeune carrier.

La veille, trois jeunes tailleurs de pierres du Moulet (commune de Volvic) les nommés Jean L… , Michel R… et Antoine L… , s’étaient rendus ensemble au chantier de M. Dosmas-Souher entrepreneur, pour se faire payer leur travail.

L’entrepreneur les régla. Alors on n’eut rien de plus pressé que de faire la noce dans les auberges. Tant et si bien que vers 7 heures du soir , ils étaient ivres tous les trois dans l’auberge Trottier, où ils buvaient encore.

A ce moment Antoire L... et Jean L... se prirent de querelle pour un motif futile se bousculèrent quelque peu….

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lundi 26 juin 2023

AUTOUR DE TROIS INFANTICIDES (1885)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
EN BREF


Sous l'Ancien régime, l'abandon des enfants se faisait aux portes des églises ou des communautés religieuses. Au début du 19e siècle, la société amplifie le nombre des « tours d'abandon ».
Mais à la fin du même siècle, l’Administration du pays ferme « les tours d’abandon » pour mettre en place des « bureaux d’admission ». La systémisation d’obligations formalistes à laquelle il y a lieu d’ajouter la stigmatisation des filles-mères par la normative chrétienne engendrent dans le pays une série d’infanticides à laquelle l'Auvergne n'échappe pas

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