jeudi 14 août 2025

UN CONTRAT DE MARIAGE DÉRANGEANT - LE PARRICIDE DE MONLET (1866)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
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En 1866, à Monlet, en Haute-Loire, Jean-Pierre Borie, âgé de 16 ans, commet un parricide dans un élan de violence irascible. Opposé au mariage de sa sœur Philomène, dont le contrat avantageux prévoyait une cohabitation avec leur père, Jean-Pierre tire un coup de fusil sur ce dernier. Gravement blessé, le père survit quelques jours avant de succomber.
Ce drame familial met en lumière les tensions autour de l'héritage et de la cohabitation imposée.

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Bibliographie en fin d’article.

mercredi 30 juillet 2025

TRAGÉDIE À THIERS – UN CRIME D’UNE CYNIQUE BARBARIE (1878



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
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À Thiers, en 1878, un drame sanglant secoue la commune : une femme est assassinée par son propre mari, un homme vêtu comme un bourgeois, dissimulant sous cette apparence une cruauté sans nom. Les voisins, témoins silencieux des sévices répétés infligés à l’épouse, avaient jusqu'alors gardé le silence, enfermés dans une omerta glaçante.

Ce n’est qu’au procès que l’horreur éclate : les détails sordides des tortures subies émergent, révélant un sadisme méthodique. L'accusé, impassible, incarne une cynique barbarie, laissant Thiers sous le choc et l'indignation.

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dimanche 20 juillet 2025

UN MARI TUÉ PAR L’AMANT DE SA FEMME- LA FEMME COMPLICE - LE CRIME DE PONT-PICOT (MARINGUES) - 1892



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
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En 1892, à Pont-Picot, commune de Maringues, un cadavre est découvert, celui de Joseph Durif, son crâne fracassé.
L'enquête révèle une vérité accablante : l'épouse de la victime, impatiente de se marier avec son amant Carthonet, semble être l'instigatrice du meurtre.
Manipulé, un enfant de 11 ans, est le témoin du commerce adultérin de sa mère. La voix unanime de la communauté pointe l'épouse et son amant comme complices dans ce crime brutal, choquant l'opinion publique de l'époque.
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lundi 7 juillet 2025

LE PARI UN LITRE DE VIN QUI SE TERMINE EN MEURTRE – PERPEZAT (1886)



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Dans le petit village de Perpezat niché au cœur des montagnes, l’été déploie ses longues journées paisibles, rythmées par les travaux des champs et les bavardages au comptoir de l’unique auberge du coin. Pourtant, cette quiétude a été brusquement troublée par un événement aussi tragique qu’inexplicable.
La veille au soir, l’auberge était animée par les rires et les discussions, les verres s’entrechoquaient au son des paris lancés sans retenue. Parmi les clients, un garçon de ferme, le visage rougi par les vapeurs de l’alcool, lançait un défi : un bras de fer contre un autre habitué, avec pour enjeu un litre de vin. L’assemblée, mi-amusée, mi-intriguée, s’était regroupée autour de la table bancale où les deux hommes s’affrontaient. Le garçon de ferme, bien que téméraire, s’inclina devant la force de son adversaire.
L’ambiance redevint légère, jusqu’à ce que l’aubergiste réclame le paiement de la bouteille. Mais les poches du jeune homme étaient aussi vides que son verre, et ses supplications pour un crédit restèrent vaines. Expulsé de l’établissement sans ménagement, il disparut dans la nuit noire, titubant sous les moqueries de quelques clients encore attablés.
Le lendemain, le village se réveilla sous le choc : le garçon de ferme fut retrouvé sans vie, à quelques distances de l’auberge. Était-ce l’ivresse qui l’avait conduit à sa perte, ou quelque chose de plus sombre s’était-il joué cette nuit-là ? Les murmures se propagent, les regards se tournent vers l’aubergiste, vers l’adversaire du bras de fer, vers ceux qui avaient ri sans prêter attention.
Dans ce petit village d’ordinaire si tranquille, les questions demeurent. Et si cette partie de bras de fer n’était que le début d’une histoire bien plus obscure ?
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lundi 23 juin 2025

LE MAISON DU MAIRE DÉTRUITE PAR DES EXPLOSIFS - BRASSAC LES MINES (1883)



DANS LA SĖRIE « ACTUALITÉ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
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Dans les années 1882-1883, une série d'attentats frappe la France, marquée par des tensions politiques croissantes. À Brassac-les-Mines, la maison du maire est détruite par des explosifs, un acte rapidement qualifié d'attentat politique par les observateurs. L'explosion, relayée par les médias nationaux et locaux, a soufflé toutes les cloisons de la maison, brisé les vitres et endommagé les meubles, sans faire de victime.
Un voisin du maire est rapidement arrêté après l'attentat. Les autorités le suspectent d'être impliqué dans l'explosion, bien que les motivations exactes restent floues. Son arrestation suscite des débats dans la communauté locale, alimentant les rumeurs sur les tensions politiques qui pourraient avoir conduit à cet acte de violence. Cette arrestation nourrit la presse qui relie l'affaire, accroissant l'attention sur la situation à Brassac-les-Mines.
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mercredi 11 juin 2025

ON A ASSASSINÉ « LA MARION » - LE CRIME DU THÉRON (SAINT BABEL) 1893



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Dans le hameau du Théron, à Saint-Babel, vivait la veuve Chemin, surnommée « La Marion ». Victime de plusieurs vols, elle prit l’initiative de glisser sa petite fortune dans une pochette suspendue à son cou, qu’elle ne quittait jamais. Persuadée que cette précaution suffisait, elle n’hésita pas à partager cette subtilité avec ses voisins.
Cependant, un homme du village, en grande difficulté financière, apprit l'existence de cette cachette. Ce simple aveu fit naître des convoitises et plongea le hameau dans le doute.
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jeudi 29 mai 2025

VENGEANCE PRÉMÉDITÉE - DÉNONCÉ PAR SON COMPLICE, LES DEUX COMPÈRES SE RETROUVENT À LA PRISON CENTRALE DE RIOM (1870)



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Deux complices avaient commis un vol dans l'Allier, mais seul l'un d'eux avait été arrêté et condamné à 10 ans de réclusion. Le second était resté en fuite jusqu'à ce que son complice le dénonce aux autorités.
Par la suite les deux hommes se retrouvent en cohabitation forcée dans la prison de Riom , ravivant un esprit de vengeance chez le dénoncé, obsédé par l'idée d'éliminer « la balance ».
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